L’Ethiopie, par Klaus DELLAMARIA

Date: 09.12.2019 à 00:00

Pourquoi l’Éthiopie ? Quelques notes en guise d’introduction.

Assez loin pour paraître exotique, et trop près pour être ignorée. 

L’Éthiopie est un pays riche d’une culture ancestrale. Avec des découvertes archéologiques (Lucie), culturelles (Lalibela et ses églises monolithiques), Aksoum (ruines, obélisques mystérieux et tombeaux). 

Des rencontres chaleureuses se font facilement tout au long du voyage. Ce ne pas pour rien que cette région était depuis des millénaires un point de chute pour voyageurs en tous genres (écrivains comme aventuriers).  

Terre propice pour enfanter des histoires incroyables et chimériques, mais également terre d’accueil pour toutes sortes de religions (chrétienne, musulmane, orthodoxe, juive, animiste, etc.) dont les Ethiopiens sûrent s’approprier ce qui leur convenait, développant ainsi une tolérance non seulement religieuse mais aussi envers les ethnies (Oromos, Amharas, Afars, Somalis, Karos, Mursis… et encore 80 autres) et leur langues (sémitique, couchitique, omotique, nilo-saharienne, arabe et la plus parlée, la langue pour fédérer, l’ANGLAIS). 

L’exposé n’approfondira pas ces différents aspects, mais apportera surtout les impressions ressenties pendant un séjour de trois semaines en 2005.

L’auteur se présente. Suite des notes.

Par mon travail j’ai eu la chance de voyager, mais sans avoir le temps d’aller à la rencontre des gens ou de visiter les lieux emblématiques. Comme tout le monde, j’ai donc utilisé mes vacances pour assouvir ma curiosité, puis les possibilités offertes par la « retraite », avec un « certain intérêt pour la photographie » comme vous verrez. J’ai fait des rencontres captivantes, passionnantes, agréables, toujours fructueuses et profitables, et pas une déplaisante. Les photos de ces voyages sont prêtes pour de futures présentations publiques et les membres de l’Atelier des Reportage de UNI 3 ont déjà eu l’occasion de voir certains pays. Simple curiosité au départ, cet exercice de conférencier ou plutôt de montreur d’images, m’a plu. Une seule règle: liberté de conception et ne pas ennuyer.